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17 mars 2023 5 17 /03 /mars /2023 10:41

C'est la fête de la littérature au Grand Portique ! jugez plutôt :

 

Vendredi 24 mars à 18H30 au 18 rue Louis Vignol : Alessandra Blache et Frédéric Ganga disent l’amour

Voyage à travers la poésie française féminine et un auteur iranien du XXIème siècle.

Participation libre

Contact : 06 28 48 48 88 ou legrandportique@gmail.com

 

 Samedi 25 mars de 10H à 18H et dimanche  26 mars de 10h à 13H au 18 rue Louis Vignol : vente de livres d’occasion par Amnesty International

Romans, bandes dessinées, beaux livres...à petits prix et en bon état.

 

Dimanche 26 mars de 14H à 19H au 18 rue Louis Vignol : escale littéraire.

Rencontrez trois auteurs ciotadens et leurs livres et CD : Martine Gaertner, Alessandra Blache et Frédéric Ganga. Venez piocher un livre et passez 15 minutes avec son auteur !

Contact : 07.85.54.90.46

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3 février 2022 4 03 /02 /février /2022 10:39
La Provence du 30 janvier 2022 : Hortense Raynal , poétesse

Article de Christiane Ganteaume dans la Provence du 30 janvier.

Le Grand Portique est très heureux d'avoir pu accueillir Hortense Raynal, jeune poétesse et performeuse prometteuse. Les artistes désireux de venir dans le petit local de l'association (30-35 places maximum) peuvent nous contcater à legrandportique@gmail.com

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18 janvier 2022 2 18 /01 /janvier /2022 17:30

L'association le grand portique vous souhaite une bonne et heureuse année 2022.

Deux belles soirées en perspective les 25 et 28 janvier ;

Lecture-performance autour de Ruralités
 
"Des mots remuent. En silence.
Sous le givre des choses.
[...]
Les grandes mains des mots nous remuent." écrit Marie-Hélène Lafon, Prix Renaudot 2020, au sujet de Ruralités, écrit par Hortense Raynal et paru aux Carnets du Dessert de Lune en 2021.
"Ruralités est un texte oral, physique avant tout, parfois éprouvant comme une séance de sarclage, porté directement par le corps du texte en pâture, un corps énergique, suant. [...] On y sent quelqu’un qui se tient debout, devant le texte, qui parle en nous tenant la nuque, et qui s’emporte, veut absolument tenir sa phrase, supporter son passé pour lui donner sa valeur propre. [...] mais surtout, dans ce beau texte, on voit se dessiner la sincérité et l’affirmation d’une déjà grande poétesse, Hortense Raynal, dont la voix porte haut et fort et dont le premier recueil, par son éloquence, son verbe fort et sa franchise, n’a rien de la posture." décrit quant à lui le poète Victor Malzac, Prix de la Vocation 2021.
Mais pour découvrir la poésie contenue à l'intérieur de ce livre, la scène reste une bonne solution.

Mardi 25 janvier, à 19h
Le Grand Portique
18 rue Louis Vignol à La Ciotat
Lecture-performance
Du foin et de la terre
Entrée à prix libre

En savoir plus sur le livre : https://www.dessertdelune.com/.../ruralites-hortense...
En savoir plus sur l'autrice :
https://linktr.ee/hortense.raynal
Hortense Raynal en pleine performance pour Ruralités

Hortense Raynal en pleine performance pour Ruralités

Samedi 29 janvier à 18H au 18 rue Louis Vignol à La Ciotat

"Trahisons" de Harold Pinter. Adaptation Méli-Mélo Théâtre

Participation libre. Réservation obligatoire (jauge limitée) au 06 62 68 21 02

Présentation
Avec ces Trahisons, Harold Pinter, dramaturge anglais et Prix Nobel de la littérature, s'empare de la situation la plus éculée du vaudeville: le mari, la femme, l'amant pour n'en garder que l'essentiel: l'adultère pur comme source inépuisable de trahisons amoureuses aussi bien qu'amicales.

L'intrigue se déroule à l'envers, commençant par la fin de l'histoire d'amour pour remonter
par une suite de tableaux drôles et cruels jusqu'aux premières ivresses amoureuses.
Cette remontée du temps prend ici quasiment la forme d'une enquête policière qui reconstitue sans complaisance l'itinéraire de trois personnages empêtrés dans leurs mensonges. Pinter retourne
la comédie boulevardière comme un gant et met à jour avec humour tout le secret des êtres et de leurs dérisoires passions.


DISTRIBUTION
(par ordre d’entrée sur scène) :
EMMA Catherine Capgras
JÉRÔME Patrice Capgras
ROBERT Raymond Ager
LE SERVEUR Henri Rigaud
Mise en scène : Henri Rigaud
Mise en musique : Véronique Escaith

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14 janvier 2020 2 14 /01 /janvier /2020 06:18

Le 24 janvier 2020, le Grand Portique accueillera en son local du 18 rue Louis Vignol à La Ciotat la poétesse et photographe Isabelle Ganga à l'occasion de la sortie de son recueil "Nous habitons continûment l'été".

Il s'agit d'une série de chroniques urbaines, d'une traversée de la ville de La Ciotat en textes courts et images.

La soirée sera partagée entre des lectures par plusieurs poètes locaux, la traditionnelle séance de questions- réponses avec l'auteur qui dédicacera ensuite son recueil  aux personnes intéressées lors du pot de l'amitié.

Entrée libre.

 

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15 octobre 2018 1 15 /10 /octobre /2018 14:15

Le Grand Portique vous propose de réserver votre début de soirée le vendredi 26 octobre de 18H à 20H en son local du 18 rue Louis Vignol.

Frédéric Ganga, poète-crieur public et guide du centre-ville et du parc du Mugel, vous accueillera avec des amis poètes pour vous présenter son nouveau recueil :

LORSQUE L'OISEAU A CHANTÉ

Arnaud Beltrame et autres poèmes

(Editions du bon sorcier. Prix : 5 euros ou plus, à votre choix)

L'auteur dédicacera ensuite son recueil autour du verre et des grignoteries de l'amitié. 

L'image de couverture est due au talent de Thibaud Desmet, étudiant graphiste à Aix-en-Provence

L'image de couverture est due au talent de Thibaud Desmet, étudiant graphiste à Aix-en-Provence

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20 septembre 2016 2 20 /09 /septembre /2016 15:52

Pour fêter ses 2000 poèmes, Frédéric Ganga vous invite à participer à la soirée du vendredi 23 septembre à 18H30 au local du Grand Portique, 18 rue Louis Vignol.

Avec quelques amis, il vous propose de retracer plus de deux décennies à travers des lectures et surprises poétiques. Il ne sait pas quels poèmes ont été choisis, elles et ils ne savent pas quels poèmes il a choisis...

Un pot de l'amitié clôturera la soirée.

Toutes vos propositions sont les bienvenues pour animer cette soirée : poèmes, musique, danse...

Quelques recueils du poète seront là pour être feuilletés et, pourquoi pas, achetés.

CHERCHER L'AMOUR A LA SOURCE DES HAINES

Chercher l'Amour à la source des haines

Aimer de pluie autant que de vin pur

Marcher le soir sur la trace des reines

Illuminer, esprit suave et dur

La vérité, ce bar de l'atonie

Loués nous soient les serveurs de grand'vie

Envies nous soient de boire à la sirène.

Frédéric Ganga.

Lecture de Frédéric Ganga lors du Festival de Poésie d'Aix-en-Provence

Lecture de Frédéric Ganga lors du Festival de Poésie d'Aix-en-Provence

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6 mai 2016 5 06 /05 /mai /2016 14:11

Bonjour,

voici le compte-rendu de la soirée par Ioan T Morar, journaliste et homme de lettres roumain :

Hier soir j’ai passé, presque contre mes attentes, un des meilleurs moments depuis que je suis en France. C’était une soirée de poésie Roumaine à la Ciotat, ma ville adoptive. J’avais vu, des mois avant, les affiches d’une soirée de poésie brésilienne. Je n’ai pas pu y aller, étant absent de la ville. Mais j’avais pensé que, au fond, vu le précédent créé, on pourrait organiser aussi une soirée de poésie roumaine. Comme ça, j’ai contacté Frédéric Ganga, poète et dirigeant du cénacle littéraire de la Ciotat qui est tombé tout de suite d’accord. On a eu une rencontre préliminaire avec lui et Paul Julien, le président de l'association Amitié Franco-Roumaine. On a fixé la date: 4 mai. J’ai proposé une ample sélection de poésie roumaine (j’ai cherché des bonnes traductions), avec Eminescu, Blaga, Bacovia, Minulescu, Blandiana, Sorescu, Virgil Mazilescu, Traian T. Coșovei, Adrian Popescu, Gellu Naum, Mircea Ivănescu, Robert Șerban. Et moi-même. Jai envoyé les poèmes afin que mes amis du cénacle puissent choisir leurs poèmes préférés. Voilà les préparatifs.

Hier soir ça s’est passé, avec une trentaine de personnes, les membres de l'association AFR et les membres du cénacle confondus.
Surprise, la première: un des membres du cénacle, français (sans liens de famille avec la Roumanie) est venue habillée en “peau de mouton” acheté en Maramureș ! N’oublions pas, à la Ciotat il ne fait pas si froid !

J’ai fait une courte présentation de la poésie roumaine, accessible pour un public étranger. Puis, les lectures de poésies. Quelques poèmes d'Eminescu, puis, Blaga et les poètes plus récents, souvent en original, et, après, la traduction française. C’était tout ce que j'avais prévu. Mais on a eu une belle continuation. Deuxième surprise: Régis et Marianne ont préparé un micro-récital Gherasim Luca, a deux voix. Gherasim Luca, poète d’origine roumaine, mort à Paris, a eu des audaces linguistiques -poétiques, du jamais vu! Un super moment de la soirée!
La troisième surprise : un membre du public a demandé la permission de lire, en provençal et en français, une poésie de Mistral dédiée à la Roumanie! Mistral était un bon ami de Vasile Alecsandri, poète roumain.

Puis, on a eu dans la soirée des discussions sur la poésie et la littérature roumaine. J’ai mentionné Anna de Noailles (née Brancoveanu). Des discussions sans aucune complaisance, comme j' ai eu peur. Une très belle soirée qui finit par un “apéro”. Un vrai intérêt de la part de tout le monde c’était le liant de cette rencontre culturelle, sans aucune fausse note.
C’est sûr, je n'ai pas mobilisé un stade, avec l’hymne national, je n'ai pas démoli les montagnes des préjugés, mais j' ai réussi à convaincre quelques Français de rester, pendant presque deux heures, très proches de la poésie et de la littérature roumaine. Merci, Frédéric Ganga, merci, Paul Julien !

Et au tour du Grand Portique d'ajouter : merci Ioan Morar !

En deuxième partie, quelques personnes ont dit des poème sur la paix, dans le cadre du Festival "PALABRA EN EL MUNDO", LA POESIE EN ACTION UNIVERSELLE POUR LA PAIX.

Et promesse a été faite d'organiser une soirée de poésies et de chansons tsiganes ; nous vous tiendrons informé-e-s.

Ioan Morar

Ioan Morar

(en haut) Marianne et Régis lisant Gherasim Luca - (en bas )Le public nombreux et assidu
(en haut) Marianne et Régis lisant Gherasim Luca - (en bas )Le public nombreux et assidu

(en haut) Marianne et Régis lisant Gherasim Luca - (en bas )Le public nombreux et assidu

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14 janvier 2013 1 14 /01 /janvier /2013 16:11

Réunissant Anne-Marie Felgueiras, jeune auteure compositrice-interprète et Frédéric Ganga, poète d'âge mûr, les chanpoètes poursuivent leur tour local. Après le restaurant "Comme à la maison" et la librairie "La lanterne d'Aristote", ils seront au Grand Portique, 18 rue Louis Vignol, le vendredi 25 janvier à 18H.

 

Les artistes abordent  dans cette rencontre-spectacle plusieurs sujets, dont la tolérance et l'engagement, selon des points de vue proches mais éloignés dans leur traitement. Tour à tour joyeux, tendres, revendicatifs, ils vous entraînent dans un univers chaleureux, dans lequel la participation du public est parfois recommandée.

 

Tous les publics sont les bienvenus, à partir du collège.

 

Particpation libre.

 

 

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19 avril 2012 4 19 /04 /avril /2012 06:40
Né en 1958, Jacques Lucchesi est journaliste et critique d’art. Depuis 1986, il a publié une trentaine d’ouvrages (poèmes, essais, nouvelles). Derniers titres parus : « Aux alentours du paradis » et « L’un de nous était de trop » (chez Edilivre).
Parallèlement à son propre travail d’écriture, il a créé en 2006 les éditions associatives du Port d’attache pour publier, parcimonieusement et à bas prix, de petits livres sans concession. 8 titres sont parus à ce jour, signés par des auteurs comme Henri-Michel Polvan, André Ughetto, Lionel Mazari ou Yves Carchon.
Au cours de la soirée du 26 avril prochain, il débattra avec le public de la nouvelle en tant que genre littéraire et présentera son projet éditorial. Il lira également des extraits de « L’envers du monde « d’Yves Carchon, ainsi que des nouvelles de son recueil « Aux alentours du paradis ».  
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La maison de verre (extrait) 

 

 

  Une maison de verre ! Ils avaient construit une maison de verre en plein cœur du village. Au début, quand  ils commencèrent les travaux, on ne comprit pas bien. Jamais on ne voyait de brique ni de tuile arriver sur le chantier, comme pour les autres maisons, mais seulement des vitres et des miroirs. On croyait qu’ils étaient déjà en train d’installer les fenêtres mais c’étaient, en fait, les murs qu’ils montaient. Et moins d’une semaine après, le toit brillait de mille feux  sous le soleil. La porte aussi était en verre : comment comptaient-ils se protéger avec ça ? N’importe qui aurait pu la faire voler en éclats. Une maison, ça sert bien sûr à se mettre à l’abri du froid, de la pluie ou du vent  mais surtout à s’isoler des autres. Ici comme ailleurs, ce sont eux que l’on redoute le plus. Il faut des murs solides pour les empêcher de passer. Des murs solides et opaques, car les mauvaises intentions, c’est bien connu, ont leur point de départ dans le regard.

 

De tout cela, les habitants de la maison de verre ne semblaient en avoir cure. Du reste, personne n’a jamais su d’où ils venaient. Etaient-ils seulement des humains ? Grands, fins, pâles, ils me paraissaient certains jours être aussi transparents que les parois de leur maison. Certains, comme le boucher, affirmaient que c’étaient des extra-terrestres et que l’invasion ne faisait que commencer. Mais notre professeur de sciences naturelles disait qu’ils étaient très intelligents et qu’ils domestiquaient ainsi l’énergie solaire. Moi qui les ai vus aller et venir de la cuisine au salon et du salon à la chambre à coucher, je peux dire qu’ils ne vivaient pas différemment de nous. A ceci prés que rien de ce qu’ils faisaient ne nous était caché. En plus, ils étaient toujours nus sitôt dedans. Les enfants jouaient, se lavaient  et faisaient leurs devoirs ; les parents lisaient, préparaient les repas ou s’embrassaient sur le lit et tout le monde ici semblait parfaitement heureux. 

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 Aux alentours du paradis

 

 

 De prime abord, rien ne distingue B. des autres communes provençales. Des platanes feuillus y  bordent les terrasses des cafés et des restaurants où les touristes aiment faire de longues haltes durant les beaux après-midis d’été. Le dimanche, sur la place et dans les allées, artisans et forains déballent leurs trésors : saucisses, miel, parfums qui sentent bon le terroir ou étoffes et santons qui adoucissent le regard. Et c’est, à pas feutrés,  une ronde allègre de sourires et de bons mots qui ne cesse qu’avec leur départ. A l’heure des vêpres, quand le soleil bas étire les ombres,  les pétanqueurs ressortent leurs sphères d’acier recuit et envahissent le boulodrome municipal pour des parties interminables que suivent et commentent des spectateurs engagés : «  Et pourquoi tu pointes ? En frappant seulement deux fois dans la mène, tu avais la gagne assurée. «  . Le soir, quand la clarté diminue et qu’une brume légère saupoudre la campagne environnante, les vieux remontent  doucement vers leurs maisons à travers les rues pentues. Par les fenêtres entr’ouvertes, les téléviseurs projettent bien vite  leurs reflets bleutés  tandis que fument à plein régime les cheminées des pizzerias. On discute à voix haute des nouvelles recrues du club de foot local :   «  Si avec ces trois-là,  on n’accroche pas un deuxième titre, y a plus qu’à se noyer. ». Ca et là fusent des éclats de rire : la vie, comme partout ailleurs en Provence. Et cependant, quelque chose s’est passé qui n’en finit pas  de durer…

 

  Cela a débuté  voici un peu plus de trente ans, au tournant des années 60. A vrai dire, il n’y a qu’à consulter les registres d’état civil de B. pour s’en rendre vite compte. L’année  dernière, il y a eu ici 9 mariages, 5 naissances et aucun décès. Deux ans plus tôt, c’étaient sensiblement  les mêmes statistiques et il en va ainsi jusqu’à…1964. Ainsi, la population de B. a presque triplé dans cet intervalle  et l’on  dénombre aujourd’hui quatre de ses membres qui ont dépassé le siècle d’existence tandis qu’une cohorte d’autres prétendants au centenariat les suivent de prés. Certes, le sud  passe pour favoriser la longévité mais tout de même… Pourtant, les gens d’ici n’ignorent pas les divers maux qui assaillent, saison après saison, jeunes et vieux avec un taux inégal de malignité. Mais voilà, au bout du compte, chacun à B. finit par retrouver la santé. Si, par conséquent, médecins et pharmaciens ont toujours droit de cité, il n’en va pas de même pour le représentant des pompes funèbres qui a tiré le rideau depuis belle lurette. Monsieur Anselme avait une réputation d’honnête commerçant et nul, ici, ne souhaitait sa faillite, mais il n’y avait vraiment plus rien à faire pour lui. A ce que l’on dit, il partit s’établir à G. où sa petite entreprise prospéra assez vite. Malheureusement pour lui, il ne profita guère de cette embellie car un cancer foudroyant l’emporta quatre ans après. Une petite précision qui a son importance : il n’était pas natif de B. , comme tous les gens auxquels il avait proposé vainement ses services.



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RENDEZ-VOUS LE JEUDI 26 AVRIL A 18H AU 18 RUE LOUIS VIGNOL !
LA DATE EST AVANCEE POUR RAISONS PROFESSIONNELLES.
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2 décembre 2011 5 02 /12 /décembre /2011 14:36

Le Grand Portique finit l'année 2011 en fanfare, en prévision d'une rentrée plus calme.

 

Samedi 10 décembre, nous découvrirons un ancien instituteur nommé dans un petit village frontalier en Tunisie, sa terre d'origine, l'année de l'indépendance (1956).

 

Benjamin Zarka a fait toute sa carrière dans l'enseignement (français, latin) et est titulaire d'un doctorat d'histoire.

 

Il a écrit plusieurs livres :

- Instit ! Surtout pas !

- Les clés de lumière

- Nuit blanche pour soleil noirs

- Lyra, ma planète

- Liberté ! Les rebelles LibreVille

 

Il nous racontera une partie de sa vie palpitante et engagée au service d'un idéal d''éducation et de fraternité.

L'auteur viendra avec ses livres.

Comme toujours, l'entrée est libre et le Grand Portique offre le verre de l'amitié.

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