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8 avril 2012 7 08 /04 /avril /2012 15:54

Parrallèlement à l'histoire de spetits racontée par l'animateur, Shamane, qui joue le personnage de Pirtu, légionnaire Piturik, a décidé de raconter les scénarios à sa façon.

 

Voici le début :

 

Ils sont arrivé dans un village tout calme avec leurs vaisseau

 les compagnons vont dans le port et Pirtu dans les maisons pour les fouiller. Pirtu n’entends pas un bruit, c’est calme. Elle trouve un bâtiment suspect. Elle fouille mais elle trouve que de la poussière. Piric entend un bruit dans la cave. il va voir ce que c’est et il appelle à l’aide. Les autres voient un petit bateau. Ils voient une créature qui ressemble  à un spectre. Fausi lui pose la question pourquoi êtes vous l’a ? Il répond nourriture. La créature se jette sur piric. Fausi essaye de la tues. D’un coup de poignard pénètre  ans l’armure de la pierre noir de Piric il est figé. Fausi se met en position maximal. Pirtu trouve quelque chose. Elle voit un seau mais pas pour l’eau et un sceptre. elle va au deuxième étage. Elle voit un tableau neuf. elle vas chercher ses amis. Mais il y a un spectre qui les congèle. Ensuite il la repère et essaye de la tuer. elle tua le spectre et décongela ses amis. elle prend l’anneau vert du monstre. Ensuite ils retourne voir le tableau. Ensuite Fausi repère qu’il y a un monstre dans une cachette secrète et ils repartie tous sur le vaisseau.

 

 

 

 

 

 ils sont arrivé sur une île déserte qui et surtout bizarre avec des provision. Ils virent un piège et ils passaient à cotée. à Cotée de sella ils y a un campement de fortis, il y a encore quelques braise dans le feux. Les compagnons allaient faire un campement. nous lâchons nos ratoque pour qu’ils aie manger.5 minutes plus tard, les ratoque reviennent avec des pouloque énorme. Les compagnons essaye  de leurs tendre un piège. tout à coup, Pirtu a une idée l’idée est de leurs proposée une demande en combat. Pirtu étant la plus rapide et discrète du group ;c’est donc elle y vas . Pirtu fit ce qu’elle avait à faire. les fortis rigolaient et se jette sur elle. Elle rentra au campement  et chercha encore et encore une idée.

 

 

 

 

Ils essayent de trouvé un piège, quand tout à coup ils son entouré de fortis. Ils entendirent un bruit. C’était le gardien gigantesque. Les fortis leurs raconta des bobards qu’ils étaient  gentil et que nous qu’on était méchant. Alors il savait pas qui croire, alors il nous a proposer un défi que une personne de chaque équipe vienne dans une sorte de dôme. Dans l’équipe des gentils choisirent Pirtu la légionnère et selle des méchant aussi un légionnère. Le défi était de mettre une main dans un trou et dans un des trous il y a l’épingle du néant. Pirtu commença, elle mit la main dans un trou gluant mais mit la main dans un bon trou. Et le fortis mit la main où il y avait l’épingle du néant du coté où sa anéantissait les gents et se fit anéanti. Pirtu avait gagné. Ils font la fête. Mais Pirtu  s’aperçoit que Pitiruque est resté là-bas garder le bateau, elle prévient les autres. Ils vont voir et s’aperçoivent qu’il est mort. Ils lui on fait une tombe et écrive un mot dessus. Fausi et Pirique pleure énormément. Pirtu leurs propose de lui prendre son argent ses armes…

Ils rentrent à la fête et emporte des provisions. Et rentrèrent chez eux.

 

 

 

 

 

 

 

 

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4 avril 2012 3 04 /04 /avril /2012 21:17

Pirik détecte un sort de repérage sur Pirtu. Les Fortis peuvent donc la retrouver sans problème.

Nos héros hésitent. faut-il tendre un piège aux Fortis en utilisant les pièges des indigènes ? lusieurs hypothèses sont évoquées et le temps passe. Soudain, les quatre légionnaires Fortis surgissent de nulle part et se précipitent sur nos amis.

Fozi se lance dans une imprécation en langue-mère: "Fuyez ! Nous sommes plus puissants que vous ! Nous avons avec nous mille hommes qui vont arriver dans quelques minutes ! " Hélas, il ne parvient pas à impressionner les Fortis.

 

Pirik jette un sort d'agrandissement sur Pirtu qui se jette hors de son ratoc. hélas encore, elle ne grandit que de 30 centimètres.

 

Les Fortis attaquent. Fozii pare habilement le coup de son adversaire.

Pirik s'attend auu pire, mais le Fortis qui se dirige vers lui se prend les pieds dans une liane et tombe à terre.

Pirtu reçoit deux grands coups de cimetoc mais reste debout.

 

C'est alors que l'érudit Fortis s'adresse à Fozi : "tu as raison, nous ne devons pas nous combattre. Il y a mieux à faire, affronter le Gardien." A ce moment-là, la terre résonne et au loin apparaît un indigène de dix mètres  de haut. Les ratocs et l'autrumoc s'enfuient.

 

Le mage Fortis envoie une pluie de feu sur le géant, mais celui-ci, d'un geste, la transforme en cendre.

 

"Etrangers venir avec mensonges sur les lèvres et cimetocs dans les mains", hurle le géant.

Pirik lui explique que les héros sont les ennemis des Fortis et qu'ils sont, eux, gentils. l'érudit Fortis tente d'expliquer qu'ils ne sont pas méchants.

 

"venir pour épreuve", dit le géant d'un ton sans réplique.

il les amène jusque devant une grotte.

 

"Choisir champion", dit le géant.

 

Fozi et Pirik désignent Pirtu, les Fortis un légionnaire.

 

"Entrez grotte" dit le géant.

 

A l'intérieur, Pirtu et le Fortis se trouvent devant un rocher percé de sept trous et surmontés d'une épingle, l'épingle du néant ! Il ya autour des dizaines de squelettes.

 

Pirtu plonge sa main dans un des trous. Elle sent des choses gluantes et des épines. Puis sa main arrive tout au fond du trou et celui-ci s'efface.

C'est au tour du Fortis. Il plonge sa main, pousse un cri de douleur et devient instantanément un squelette qui s'ajoute aux autres.

 

Pirtu a gagné ! Les fortis doivent quitter l'île. les indigènes viennent célébrer la victoire de nos héros en dansant et en leur offrant des plats exotiques à base de poisson.

 

ce n'est que quelques heures plus tard que Pirtu pense à Pitiruk. Escortés par les indigènes, nos héros retrouvent le bateau et...le  cadavre de Pitiruk, tué par les Fortis. la boussole indique : "RETOUR"

 

Les indigènes font une sépulture à Pïtiruk et Pirik fait graver sur le bois de sa tombe :

Pitiruk est tombé vaillamment au combat lors de notre mission contre des Fortis.

 

Fozi s'occupe d'enlever l'armure de la pierre noire et de vêtir Pitiruk de ses plus beaux habits.

 

L'armure et les armes de Pitiruuk sont ramenés à bord su bateau. Les 356 soltis d'or sont répartis entre Fozi et Pirtu qui jurent de les donner aux fonds pour les victimes de la guerre.

 

De retour à Primeville, nos héros sont félicités chaleureusement.

 

Pirtu reçoit le titre de commandant.

Fozi reçoit le titre de colonel.

Pirik reçoit le titre de haut colonel...

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3 avril 2012 2 03 /04 /avril /2012 20:48

Aujourd'hui, il devait pleuvoir

La météo l'avait prédit

Allais-je faillir au devoir

Ou me munir d'un parapluie ?

 

Eh bien non ! Le soleil est là.

Comme prévu, je commence par l'angle de l'avenue Géry et la rue Pasteur. "Qu'est-ce que tu fais là ? Ah mais c'est vrai que tu l'avais dit !".

Effectivement, il y a foule à cette heure, un peu avant 10 heures du matin.

 

Il y a peu d'annonces en cette semaine pascale : les expositions de 4 artistes dans le vent aux Pénitents Bleus et de Mlle Juaneda (à prononcer ou pas à l'espagnole) à la galerie du Port, la découverte des métiers des espaces verts aux Jardins de l'espérance, la soirée d'improvisation au restaurant comme à la maison, le journée de l'olivier et le marché aux fleurs, la soirée Brassens à la salle  de la culture de Ceyreste et la soirée de fiesta andalous eet de paëlla à la salle Paul Eluard.

 

Comme chanson, après le Carnaval, j'annonce qu'il est arrivé :

 

Carnaval es arribat

Farem la festa, farem la festa

Carnaval es arribat

Farem la festa dins lo prat

 

Je reprends la graphie occitane, mais je peux me faire mistralien, tè !

 

Carnaval es arriba

Faren la festo, faren la festo

Carnaval es arriba

Faren la festo dins lo pra.

 

Et puis un beau poème de Jules Laforgue tout empreint de lucidité pour ce poète mort à 27 ans :

 

Jules Laforgue (1860-1887)

 

 

Veillée d'avril

Il doit être minuit. Minuit moins cinq. On dort.
Chacun cueille sa fleur au vert jardin des rêves,
Et moi, las de subir mes vieux remords sans trêves,
Je tords mon cœur pour qu'il s'égoutte en rimes d'or.

Et voilà qu'à songer me revient un accord,
Un air bête d'antan, et sans bruit tu te lèves
Ô menuet, toujours plus gai, des heures brèves
Où j'étais simple et pur, et doux, croyant encor.

Et j'ai posé ma plume. Et je fouille ma vie
D'innocence et d'amour pour jamais défleurie,
Et je reste longtemps, sur ma page accoudé,

Perdu dans le pourquoi des choses de la terre,
Ecoutant vaguement dans la nuit solitaire
Le roulement impur d'un vieux fiacre attardé.

 

Et j'ai mes annonces humoristiques (merci, le monde.fr !) après mon télévisuer d'avant TNT à donner:

Suite au regain de tension entre l'Argentine et le Royaume-Uni au sujet des îles Malouines, David Cameron aurait proposé à Nicolas Sarkozy de construire un porte-avion moitié français, moitié anglais. Les mois en R, le porte-avion serait anglais, l'été, le porte-avions serait en révision, le mois de  mai et les trois premières semaines de juin, le porte-avions serait français.

 

Suite à la baisse de taille réglementaire minimale de 1M45 à 1M42 pour les militaires nord-coréens pour cause de carence alimentaire, les États-Unis d’Amérique auraient décidé d'augmenter le poids réglementaire minimal de leurs soldats de 90 à 100  kilos.

 

Sitôt ma déclamation sur le marché terminée, je file avec 5 minutes de retard chez mestre Rémi qui feint d'être offensé, mais qui comprend. Il faut à la fois être dans la vieille ville et sur le marché, mais se soucier aussi du nombre de personnes rencontrées. Il y a peu de monde devant le 33 rue des Poilus, mais cela va en augmentant. la fée Isabelle et deux de ses amies se pencent à leur fenêtre et m'écoutent un instant.

Place Sadi Carnot, je suis impressionné par la guerre de position des terrasses. Je suis curieux de voir la répartition géographique cet été, lorsque tous les touristes seront là. je parle pour une quinzaine de personnes, cela augmente de semaine en semaine et je parle à une jeune femme préparant le concours d'infirmière dont je connais la mère. Nous discutons de la beauté et de son lien avec la vocation.

 

Carrefour de l'horloge, lieu de rencontre par excellence, entre les saluts et les embrassades, je parviens à déclamer. cette semaine, le poème semble attirer des personnes (des femmes, bien souvent) aussi bien que la chanson.

 

Square Bouissou, un peu de monde, enfin, entre la boutique Dam Dam et feu l'espace Michel Simon. J'ai une pensée pour cet homme et suis triste de cet abandon. Qui sera capable de définir une politique culturelle cohérente pour La Ciotat axée à la fois sur le patrimoine et les nouveaux acteurs du territoire ?

 

La boucherie du Maréchal Joffre est presque vide. Le beau temps et la viande ne font pas bon ménage, semble-t-il. Les sportifs saisonniers ressortent leurs équipements, on rêve de salade et de régime...je bénéficie tout de même d'un bel accompagnement à la scie électrique d'un boucher.

 

Angle rue Joffre et place Esquiros, je retrouve le public à ce passage obligé d'entrée de ville. Le marché aux fleurs a ses adeptes. On vient me parler d'un poème et du Festival de Poésie Partagée qui vient de s'achever dimanche.

J'en oublie la bibliothèque et la boulangerie lévêque !

Et je me retrouve angle rue Michel Simon (sic) et avenue Géry pour déclamer devant de nombreuses personnes. Quelques-unes viendront me remercier de cette animation régulière. C'est bien parce qu'il y a ces sourires et ces encouragements que je continue.

 

Angle avenue Géry et rue pasteur, je retrouve ma station de départ entre les vêtements, les fruits et légumes et les olives ! Excellent endroit où les forains et les passants m'attendent ! j'aurais ensuite une discussion sur le regard des hommes et la beauté des femmes. décidément, c'est le printemps.

Je finis à la boulangerie Tomas. Belle discussion sur l'IRM obtenue grâce aux pétitions des habitants, me dit-on !

Aujourd'hui, j'ai de quoi manger ce midi grâce à mes cris : du pain et des olives. Mes ancêtres romains seront fiers de moi.

 

 

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3 avril 2012 2 03 /04 /avril /2012 14:57

Les héros sont encerclés. Un Fortis pointe un bâtonnet vers eux et aspire Snéva, Zagzas, Zigzam et sa créature.

Gorgatt fait encore appel à l'esprit du désir, mais celui-ci lui dit qu'il ne peut rien faire pour lui, puis se tait. Jesz fait appel à l'esprit de l'espoir, mais celui-ci se contente de lui dire que l'espoir demeure.

 

Le même Fortis prononce une parole mystérieuse et le rhinophantoc décapité se reforme en une seule et même partie. Gorgatt décohe une flèche sur lui, mais sans atteindre la faille provoquée par la hache de la statue guerrière. La créature commence à le flairer.

 

Jesz essaie de s'approcher du mage Fortis, mais il heurte un légionnaire Fortis qui riposte par pur réflexes et le blesse d'un coup de poing. les Fortis se mettent ensuite à tâtonne ret finissent par l'attraper et le ligoter.

Grâce à son bâtonnet, le mage Fortis aspire également Jesz et Gorgatt.

 

Snéva, Zagzas, Zigzam et sa créature se découvrent purs esprits, sans corps, entendant les paroles de centaines d'autres esprits, dont celles d'un Soltis qui parle de revenir garder les monts des premiers. Grâce à l'aide de l'esprit du savoir, Zigzam apprend qu'il y a trois portes, l'une permettant de sortir mais seulement par l'esprit, l'autre corps et esprit mais dans un endroit improbable, et la troisième difficilement franchissable.

 

Snéva apprend de l'esprit du mystère que c'est lui qui a aidé à la fabricationd e ce bâtonnet, et qu'elle ne risque donc rien. Lorsque Gorgatt arrive, il crie et demande que tout cela cesse. Aussitôt, les héros récupèrent leurs corps. Ils sont mainentant dans une grotte avec trois portes, l'une dont le haut clignote, l'autre dont le haut et la bas clignotent alternativement, la dernière chargée de lourdes chaînes. Chacun des héros a un sumbole sur le bras.

 

Snéva implore l'esprit du mystère pour sortir de là. l'esprit lui répond : chèvre ou cabri ? " Snéva choisit cabri et une grosse créature sombre et gélatineuse commence à envahir la grotte. Zigzam découvre par l'esprit du savoir que c'est un mange-vie et qu'il ne partira que lorsqu'il aura ingéré toutes les vies présentes ! Heureuseemnt, Snéva appuie sur son symbole en disant chèvre : une flèche de lumière traverse la grotte et détruit le mange-vie.

 

Zagzas demande à entrer derrière la porte chargée de chaînes à l'esprit du savoir. Il s'y retrouve et y découvre une carte. Plus tard, après que Jesz a frappé à cette porte, il l'ouvre. Zigzam et Gorgatt le suivent. Après un long moment, Zagzas l'érudit parvient à comprendre  qu'il s'agit des mouvements de troupe que les Fortis préparent dans les prochains jours pour attaquer les positions Soltis sur les monts des premiers. Il note le tout sur un parchemin prêté par Gorgatt.

 

 Pendant ce temps, Jesz et Snéva s'impatientent et décident de pousser la porte doublement clignotante. Jesz se retrouve propulsé dans un désert aride et  Snéva se retrouve devant l'esprit du mystère lui-même. Celui la félicite et lui montre la multiplicité des mondes. où souhaites-tu aller ?, lui demande-t-il. Snéva se souvient de la mission et choisit la ville qui devrait bientôt être attaquée par les Fortis...

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28 mars 2012 3 28 /03 /mars /2012 21:43

La mer se transforme peu à peuu en un fleuve sinueux au milieux d'ombres noires et rouges. se servant de son levier, Pirtu lutte pour maintenir le vaisseau dans le courant mystique. Après de longues heures d'effort, Pirtuu réussit à faire accoster le navire en douceur sur une plage, puis sur un tapis de feuilles mortes. Voici nos amis en bordure d'une forêt amicale, dans les tons doux et chatoyants. Ils décident d'avancer dans la forêt au hasard, en laissant la garde du navire à Pitiruk.

 

Trois heures plus tard, après avoir résisté dans leurs armures à une attaque de fléchettes soporifiques, puis à un piège déclenché par une corde heureusement vue et contournée à temps, nos héros tombent sur le campement de six Fortis !

Ils suivent les traces et envoient Pirtu en éclaireuse. Elle revient en apportant les nouvelles suivantes : les Fortis sont quatre légionnaires en armure couleur rouille de 2mètres avec chacun deux grands cimeterre, un mage vêtu d'une robe ornée de signes incompréhensibles et un érudit bedonnant qui note tous les détails géographiques de leur itinéraire.

Nos amis la renvoient pour proposer un défi aux Fortis, un combat à la loyale. Le vainqueur remportera l'aiguille du néant.

 

, La rencontre se passe à une extrémité de la forê au bord d'une barre rocheuse. Mais les Fortisvoyant Pirtu seule, décident de la tuer séance tenante. Pirtu s'enfuit sur son ratoc, mais reçoit une étrange couleur chaude et orange tout autour d'elle. C'est sous cet aspect qu'elle arrive à toute allure vers ses amis...

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28 mars 2012 3 28 /03 /mars /2012 21:27

Que faire ? Gorgatt pense bien à défier le chef de l'armée adverse mais se ravise, mais réussit à créer un bouclier protecteur lumineux autour de ses amis. Jesz utilise lUzaria mais ne fait que casser quelques cailloux de la paroi rocheuse, Zagzas s'amuse beaucoup en fée et ira bien plus tard jusqu'à transformer 100 Fortis en fleurs, Sneva essaie d'imaginer une façon d'utiliser son esprit du mystère, Zigzam ne trouve pas de formule percutante pour s'adresser aux Fortis. le chef de ceux-ci leur demande de se rendre.

 

Le capitaine Skiroc décide de s'enfuir avec les 250 araignocs, suivi par Snéva. Hélas, les deux rhinophantocs chargent le groupe. celui-ci saute par dessus, sauf Snéva qui se fait cueillir d'un coup de cornes et tombe lourdement à terre.

Criblé de flèches, le groupe perd une centaine d'araignocs avant de s'enfuir en diretcion d ela ville.

 

Gorgatt passe à son doigt son anneau magique, Jesz aussi.

 

Gorgatt fait appel à l'esprit du désir pour faire venir un guerrier géant, dans la plus pur style dela statuaire soltis antique, armé d'une hache à deux mains. Cette statue animée fait quinze mètres de haut , contre dix mètres d elong pour les deux rhinophantocs. La statue tranche le premier rhinophantoc mais se fait renverser pa rle deuxième qui s'acharne sur son ennemi à terre.

 

Pendant ce temps, les Fortis s'approchent de Zigzam qui a pu soigner Snéva, de zagzas juché sur le monstre de Zigzas et de Snéva. Malgré les injonctions de Gorgatt, Zagzas fait apparaître un panneau sur lequel on peut lire "Nous nous rendons." Gorgatt et Jesz restent invisibles.

C'est alors que Snéva demande à l'esprit de mystère d'illuminer le ciel. Tout le monde est aveuglé... 

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27 mars 2012 2 27 /03 /mars /2012 22:16

Aujourd'hui, festival de poésie partagée oblige, j'ai rempli ma besace de programmes dudit festival, le 10ème du nom. Cela me permet de donner le programme aux personnes intéressées au fil de mon périple.

 

je constate que le public est plus réceptif sur le marché et que j'y arrive tardivement, alors que le splaces et rues du centre-ville ne sont pas très remplies entre 10et 11H. Je pense donc essayer d'inverser et de commencer par le marché pour finir dans la vieille ville.

 

Une institutrice ciotadenne a mis en musique le poème de Raymond Queneau que nous chanterons au Festival (oui, je suis aussi le coordonnateur du Festival de Poésie Partagée) et je m'entraîne donc :

 

Encore l'art po

 

C'est mon po - c'est mon po - mon poème
Que je veux - que je veux - éditer
Ah je l'ai - ah je l'ai - ah je l'aime
Mon popo - mon popo - mon pommier

Oui mon po - oui mon po - mon poème
C'est à pro - à propos - d'un pommier
Car je l'ai - car je l'ai - car je l'aime
Mon popo - mon popo - mon pommier

Il donn' des - il donn' des - des poèmes
Mon popo - mon popo - mon pommier
C'est pour ça - c'est pour ça - que je l'aime
La popo - la popomme - au pommier

Je la sucre - et j'y mets - de la crème
Sur la po - la popomme - au pommier
Et ça vaut - ça vaut bien - le poème
Que je vais - que je vais - éditer
 

 

Raymond Queneau

 

Je dis deux poèmes, un pour chaque poète invité du festival :

 

A l’arrière de nos têtes dorment toutes sortes d’interdictions qui n’attendent que la tombée du jour pour ressurgir. La nuit, je les entends comploter entre elles. Je fais cent pas dans un sens, cent pas dans l’autre, ainsi finissent-elles par aller se coucher.

 

Dorothée Volut

 


Laisse –moi te nommer

Au remous des eaux négatives,

 

Te nommer, dédicataire de cette nuit

Derrière la trame des toits absents.

 

Où tu commences enfin de m’apparaître,

Je lis un bloc brisé d’étoiles

Qui s’éloignent sans cesse

Et mon séjour s’en va en dispersion

Dans l’iris de tes seuls yeux baroques.

 

Dominique Sorrente

 

Les nouvelles, en sus du Festival, sont nombreuses : concert des élèves du conservatoire de musique, l'heure du conte sur la peur (à pronononcer avec le ton juste !) dans les livres, des souris etd es hommes de Steinbeck au théâtre du Golfe, les ateliers de compostage et jardinage aux Jardins de l'Espérance, le super loto d'alma de rumba, la reine écartelée de Jean-Pierre Siméon, les deuxièmes rencontres auour de l'arbre à la bastide Marin...

 

Une belle annonce de Magali sur "face de bouc":

Concernant les messages de solidarité sur face de Bouc, arrêtons de culpabiliser les personnes qui ne copient pas les messages sur leur mur en écrivant « je connais ceux qui le feront » après leur demande de copier-coller. Gardons notre libre arbitre au moins dans notre façon de penser aux autres ! » Magali.

 

Et les annonces humoristiques, imparables :

ANNONCE HUMORISTIQUE 1

Suite à l'engagement du parti islamiste tunisien Enhada de ne pas inscrire la charia dans la constitution, Marine le Pen se serait engagée à ne parler ni de sécurité ni d'identité nationale avant le premier tour des élections présidentielles. Croix de bois, croissant de fer, si elle ment, elle va en enfer !

 

ANNONCE HUMORISTIQUE 2

Suite à la joie mesurée de Nicolas Sarkozy quant à la baisse de l'augmentation du chômage, Total, Elf et BP se seraient réjouies d'une prochaine baisse de l'augmentation du prix des carburants.

 

Je commence 33 rue des Poilus avec mestre Rémi ensommeillé, où plusieurs personnes m'épient du coin de l'oeil et beaucoup viennent me saluer.

 

Place Sadi Carnot, je n'ai pas de succès aujourd'hui, à part pour la chanson. les personnes attablées semblent vouloir continuer leurs discussions respectives. pourtant, à la fin du discours, j'aurai droit aux bravos de la terrasse de déco thé café.

 

Carrefour de l'horloge, il n'est pas encore l'heure de l'apéro. Une dame m'écoute avec attention jusqu'au bout.

 

Square Bouissou, j'aurai une grande discussion avec un Norvégien sur mes annonces humoristiques.

 

A la boucherie du maréchal Joffre, peu de monde.

 

Angle de la place Esquiros et rue Joffre, le monde revient grâce aux primeurs ! Là est le début du marché. Je peux donner une première mesure de mes talents, tant le nombre du public facilite le souffle du crieur.

 

Je n'oublie pas cette fois la bibliothèque où m'attend, dans la boîte aux lettres du crieur, une belle annonce sur la prochaine fête de l'olivier. C'est toujours un plaisir que parler à peine à haute voix dans ce temple moderne...

 

Mes deux stations avenue Géry sont différentes : angle rue Michel Simon, les forains sont déjà en train de remballer. Angle rue Pasteur, il y a encore du monde.

 

Boulangerie Lévêque, j'arrive trop tard. heureusement, boulangerie Thomas, nous avons le temps de discuter de la hauteur des spéculations intellectuelles de nos candidats à la présidentielle.

 


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21 mars 2012 3 21 /03 /mars /2012 11:57

Fozi et Pirik décident de retourner sur le port. Pirik détecte de la primagie sur le rafiot qui semble le plus miteux. Fozi et Pirik se bousculent pour monter sur le bateau. Fozi a l'avantage. Nos deux amis remarquent des vieux filets de pêche passablement moisis. Soudain, le filet se jette sur eux. ils l'évitent et ont la désagréable surprise de voir une créature aux chairs putréfiées muni d'un poignard dégoulinant d'une liqueur nauséabonde et verdâtre. Cette créature semble disparaître par intermittence. Elle se précipite sur Pirik en disant "nourriture !". Fozi crie "au secours !"

 

Pendant ce temps, Pitiruk entend des bruits dans la cale. Il a la surprise d'entendre des bruits en-dessous de la ligne de flottaison. Il se rue sur le pont pour crier : "A l'aide !".

 

pendant ce temps encore, Pirtu fouille tranquillement un bâtiment plus haut que les autres. Au premier étage, elle trouve des archives dans une langue illisible, ainsi qu'un sceau figurant deux créatures de feu entrelacées. Au deuxième étage, elle découvre des fresques sur la totalité des murs, dont toutes sont effacées par le temps, sauf une qui semble avoir été peinte le jour même. Cette fresque représente l'attaque de la ville par des morts-vivants, au premier plan desquels deux créatures ressemblant étrangement à celle qui est en train d'attaquer Pirik et Pirtu avec  le même poignard.

 

Très vite, la créature aux chairs putréfiés évite le filet que Pirik lui a jeté magiquement et transperce son armure de cristal de son poignard. Pirik s'immobilis et sent un liquide glacé envahir ses veines... Fozi en profite pour lui assèner un coup de son glaive de la pierre noire, mais la créature pare le coup et le  poignarde aussitôt, provoquant aussi sa perte !

 

Pitiruk saute de navire en navire jusqu'au rafiot où se trouvent ses amis. Un combat épique s'engage, mais Pitiruk a le dessous et son sang se glace également.

C'est le moment que choisit Pirtu pour descendre vers le port afin que Fozi l'érudit l'instruise sur ce qu'elle a vu.

 

Elle voit la créature qui finit de ligoter ses trois amis et tire sur elle des flèches. la première manque sa cible, la deuxième ricoche sur le corps durci de Fozi !

La créature crie "nourriture " et se précipite sur Pirtu. Celle-ci, après une troisième fléche qui blesse la créature, décoche alors deux flèches magistrales, chacune dans un oeil. La créature se liquéfie et ne reste qu'un anneau vert à sa place.

Pirtu ramasse l'anneau, hésite et ne le met pas à son doigt.

 

Pirik détecte que l'anneau est lié au transport, mais que le fait de mettre l'anneau à son doigt transforme en spectre.

 

Nos amis retournent à l'ancien hôtel de ville. Fozi examine le sceptre, il est d'excellente facture ! Pirik examine le tableau et voit toutes les fresques raconter leur histoire depuis des milliers d'année. la ville portuaire, alliée à d'autres villes a résisté plusieurs siècles à l'ennemi avantd e succomber. Ensuite, c'est au tour des spectres d'expliquer qu'une force mystérieuse supprime le smorts vivants. les deux restants avec leurs poignards verts sont réfugiés dans une pièce secrète...c'est alors que Pitiruk fait pivoter un fauteuil qui mène à la cache secrète. Vite, Pirik prévient le groupe qui décide de ne pas y aller. Pitiruk referme la cachette secrète.

 

Nos amis arrivent au port et entendent des grands bruits, comme des machines de guerre. Le temps de mettre les voiles, ils évitent de justesse des blocs de pierre. se retournant, Fozi voit une créature gigantesque, dépassant des murailles abimées, qui les regarde en disant "Nourriture !"

 

  Heureusement, la boussole

  magique indique une nouvelle direction...

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21 mars 2012 3 21 /03 /mars /2012 08:04

Le samedi 17 mars2012, de 14H à 16H, s'est tenue la première rencontre de jeu de rôles pour enfants.

 

afichetournoijeuderole.gif

 

Trois jeunes âgés de 12 à 13 ans, formés depuis plus d'un an dans le cadre des ateliers hebdomadaires de l'association Grand Portique de La Ciotat par l'animateur Frédéric Ganga sur un jeu de rôles simplifié de son crû, , ont magistralement accueilli les 11 enfants venus participer.

 

Sans aucune aide de l'animateur, ils leur ont expliqué les principes du jeu de rôles, le monde dans lequel leurs personnages allaient évoluer et les règles du jeu particulier créé par l'an. Ils ont ensuite animés chaque partie brillamment, comme en attestent les commentaires, tous positifs, avec une mention spéciale à l'érudite qui a convaincu le méchant dragon de devenir gentil !

 

Merci aux trois meneurs de jeu Jérémie de Saint-Cyr, Paco de la Cadière d'Azur et Baptiste de La Ciotat (ces deux derniers ayant de surcroît conçu le scénario commun aux trois meneurs de jeu) et à Nicolas de La Ciotat pour sa belle affiche, qui elle aussi a été conçue sans l'intervention d'un adulte !

 

Merci à Louis, Matteo, Mayan, Erwann et Shaman, habitués aux ateliers hebdomadaires, et bien sûr à Lili, Salomé, Allison, Emile et Jules venus découvrir les joies du jeu de rôles sur table !

 

L'objectif suivant est la tenue à La Ciotat d'une rencontre "grand format" avec une dizaine de tables toutes tenues par les enfants formés par Frédéric Ganga. Cette rencontre est prévue au mois de Juin 2012 et nous ne manquerons pas de vous en reparler après les vacances de Pâques.

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20 mars 2012 2 20 /03 /mars /2012 22:14

L'escargoc propose à Zigzam de pénétrer avec lui dans le temple de l'innefable. Les autres ont le temps de voir des diamants gignatesques et des pierreries innombrables avant que les lourdes portes se referment. Zagzas et Jesz sont sur les fleurs bleues en hautv du temple, les uatres en bas avec les araignocs.

A l'intérieur, les escargocs se concertent et Zigzam reprend soudain son apparence sans l'avoir décidé. Unn escargoc lui dit que les Fortis ont prévu d'attaquer la ville pour prendre l'orbe primordiale et qu'ils le désignent comme chef de l'armée qui se portera à leur rencontre.

Après un long épisode à l'extérieur du temple dû à l'énervement de certains et à l'égarement de Snéva dans la caserne (elle pense même un moment à s'engager pour recevoir un bel uniforme), tout rentre dans l'ordre. Nos héros, aidés par le capitaine des araignocs Skiroc, se retrouvent à la tête d'une armée de 250 araignocs.

Au bout de quelques heures, et quelques lancers de peirres par Snéva qui constate que sa force d'araignoc est plus grande que sa force habituelle de légionnaire soltis, mais moindre que celles des autres araignocs, une grande discussion stratégique a lieu. Gorgatt fait appel à l'esprit du dsir et fauit apparaître 250 araignics supplémentaires, hélas fantômatiques. 10 d'entre elles partent en éclaireurs, bientôt suivies par trois vrais éclaireurs araignics envoyés par Skiroc.

Un peu plus tard, un seul éclaireur revient, percé de quinze flèches. Il a à peine le temps de dire que les Fortis sont très nombreux et qu'ils les ont attaqués qu'il meurt.

C'est alors que le stambours Fortis retentissent tout autour de la petite armée...

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